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La conférence du Bürgenstock (NW) a adopté une déclaration finale soutenue par 84 pays et institutions parmi la centaine de délégations qui ont participé. Ces acteurs, dont Kiev, estiment qu'il faut pour une paix "l'implication" et "le dialogue entre toutes les parties". Le texte n'a pas été signé par les pays des BRICS présents, plus proches de la position de Moscou.
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Ainsi s'achève ce suivi en continu. Merci de nous avoir suivi.
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Une réunion ministérielle au Canada


Le Premier ministre canadien Justin Trudeau a annoncé que son pays allait organiser une réunion ministérielle sur les questions humanitaires dans les prochains mois. "Cette guerre dure déjà depuis trop longtemps", a-t-il dit lors de la conférence de presse finale.

Cette réunion "ne concerne pas seulement l'Ukraine, mais les pays du monde entier qui s'unissent pour défendre, protéger et renforcer le droit international qui assure notre sécurité à tous", a-t-il ajouté.


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Poutine pourrait venir en Suisse sans être arrêté

 

Le président russe Vladimir Poutine pourrait venir pour des négociations en Suisse sans être arrêté, malgré le mandat d'arrêt émis contre lui par la Cour pénale internationale (CPI). Il faudrait une décision du Conseil fédéral, a affirmé Viola Amherd. 

"Il y a des exceptions" en cas de négociation, a expliqué la présidente de la Confédération à la presse au Bürgenstock (NW). Le conseiller fédéral Ignazio Cassis a laissé entendre qu'une discussion serait aussi menée avec la CPI si ce scénario devait être observé.

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Berne prête à organiser d'autres rencontres

 

La Suisse est prête à organiser des rencontres de suivi au niveau technique si on le lui demande, selon la présidente de la Confédération Viola Amherd. Et elle veut dialoguer avec les pays qui n'ont pas participé à la conférence du Bürgenstock (NW). 

"Nous allons certainement reprendre contact" avec ces pays, a affirmé dimanche après-midi à la presse la présidente de la Confédération. Le président brésilien Luiz Inazio Lula da Silva lui avait notamment offert l'aide de son pays pour tenter de rapprocher Kiev et Moscou.

"Nous allons débriefer" avec ces différents pays, y compris la Russie, a affirmé de son côté le conseiller fédéral Ignazio Cassis. Il faut voir "comment nous pouvons converger" avec les approches chinoise et brésilienne sur la paix en Ukraine, a-t-il insisté.

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Zelensky prêt à des négociations "demain"


Le président ukrainien Volodymyr Zelensky estime que "la Russie peut démarrer des négociations demain avec nous". "En se retirant de notre territoire", conformément à la Charte de l'ONU, a-t-il affirmé dimanche à la presse au Bürgenstock (NW). 

Mais il ne pense pas que le président Vladimir Poutine veuille mettre un terme à la guerre. "Il faut arrêter cette personne par n'importe quel moyen", a-t-il encore insisté. Selon lui, la présence de la Russie à un second sommet sur la paix en Ukraine montrerait "leur volonté de faire la paix, qu'ils souhaitent mettre un terme à la guerre".

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Moscou doit "écouter le message" du Bürgenstock


La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a appelé dimanche la Russie à écouter le message de la communauté internationale et de mettre un terme à la guerre d'agression contre l'Ukraine. Elle a assuré ce pays du soutien de l'Union européenne. 

Il est vital que l'Ukraine puisse résister et survivre, a souligné la cheffe de l'exécutif européen, rappelant que l'UE avait déjà aidé ce pays à hauteur de 100 milliards de dollars. Elle a aussi souligné la décision du G7 d'utiliser les revenus des fonds russes gelés pour soutenir Kiev.

Le chemin vers la paix sera un long voyage, a encore relevé l'Allemande. Elle a affirmé que le chef du Kremlin Vladimir Poutine n'était "pas sérieux" actuellement sur une fin du conflit, lui qui insiste sur une capitulation de Kiev. Le monde n'acceptera pas ces conditions, a assuré Mme von der Leyen. Elle a souligné que le but était une paix "juste, complète et durable", réaffirmant le droit de l'Ukraine à son intégrité.
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Zelensky annonce un suivi ministériel


Il y aura un suivi au niveau technique et ministériel de la conférence du Bürgenstock (NW), a annoncé dimanche le président ukrainien Volodymyr Zelensky devant la presse. Plusieurs pays se sont dits prêts à accueillir un second sommet. 

Un plan d’action doit prendre "des mois, pas des années", a-t-insisté. La déclaration du Bürgenstock "reflète nos intentions", a-t-il encore dit. Et de répéter qu’"aucune paix n’est possible sans l’intégrité territoriale de l’Ukraine.
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La Suisse va continuer à s'engager pour la paix


La Suisse va continuer à s'engager pour la paix en Ukraine. La présidente de la Confédération Viola Amherd l'a assuré lors de la conférence de presse finale du sommet du Bürgenstock. 

La Suisse va continuer à jour un "rôle actif", "notre engagement demeure", a déclaré la Valaisanne au côté notamment du président ukrainien Volodymyr Zelensky, en estimant que la conférence organisée ce week-end est un succès. 

"Le fait que la très grande majorité des Etats réunis ici se soient mis d'accord sur le communiqué commun du Bürgenstock montre ce que la diplomatie peut accomplir par un travail patient", a-t-elle dit.

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La conférence du Bürgenstock a accouché d'un premier cap avec la volonté à terme de dialoguer 'avec toutes les parties'. Le plus dur commence, convaincre la Russie de s'associer au dispositif. Cette étape se confrontera à la réalité militaire sur le terrain.
Laurent Sierro, envoyé spécial de Keystone-ATS au Bürgenstock
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La déclaration du Bürgenstock veut des étapes pour associer Moscou

La déclaration finale de la conférence du Bürgenstock (NW) est soutenue par 84 pays et institutions parmi la centaine de délégations qui ont participé. Ces acteurs, dont Kiev, estiment qu'il faut, pour une paix, "l'implication" et "le dialogue entre toutes les parties".
Aucun membre des BRICS, proches de Moscou, ne figure parmi les soutiens. Ni le Mexique, l'Indonésie ou encore la Thaïlande. "Pour la première fois, nous avons parlé au plus haut niveau de paix en Ukraine", a affirmé la présidente de la Confédération Viola Amherd devant les participants. La question de "quand et comment la Russie peut être associée" reste ouverte, selon elle.
"Nous pensons qu'atteindre la paix exige l'implication et le dialogue entre toutes les parties", dit la déclaration. Elle insiste sur l'intégrité territoriale de l'Ukraine, incontournable pour Kiev.
Les participants demandent la sécurisation de la centrale nucléaire de Zaporijjia et une navigation "libre" et "entière" sur la mer Noire et celle d'Azov. Les enfants déportés doivent être rapatriés de Russie et les prisonniers de guerre et civils libérés.
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Il reste une question cruciale: quand et comment impliquer la Russie. Le chemin vers la paix devra se baser sur le droit humanitaire. La Suisse est prête à continuer à jouer un rôle actif dans ce processus de dialogue, qui sera long et chargé de défis.
La présidente de la Confédération Viola Amherd, concluant la plénière de dimanche au Bürgenstock.
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La déclaration finale soutenue par 85 pays et institutions

La déclaration finale de la conférence du Bürgenstock (NW) est soutenue par 84 pays et institutions, ont annoncé dimanche les organisateurs. Aucun membre des BRICS, proches de Moscou, ne figure parmi eux.
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Cette guerre illégale de la Russie doit s'arrêter. Le droit humanitaire et la charte de l'ONU doivent être respectés. Nous devons continuer à envoyer de forts signaux de soutien à l'Ukraine, et ce soutien ne doit pas faiblir.
Justin Trudeau, premier ministre du Canada, lors de la plénière de dimanche au Bürgenstock.